Communiqué image Couper dans le gras de l’État: DUHAIME PASSE LA CARTE DE CRÉDIT DE LEGAULT AUX CISEAUX

Couper dans le gras de l’État: DUHAIME PASSE LA CARTE DE CRÉDIT DE LEGAULT AUX CISEAUX

Québec, le 19 mars 2025 – Le Parti conservateur du Québec réclame que le budget de lundi prochain coupe dans le gras de l’État, en freinant l’accroissement des dépenses pour respecter les contribuables. Symboliquement, Éric Duhaime a même coupé aux ciseaux une énorme carte de crédit du gouvernement Legault.

« Depuis l’arrivée au pouvoir de la CAQ, les dépenses ont augmenté de 48%. C’est insoutenable pour des contribuables déjà pressés comme des citrons, pour des services de moins en moins bons », a déclaré monsieur Duhaime.

Les attentes du PCQ en bref :

• Respect de la Loi sur l’équilibre budgétaire. Le ministre Girard ne doit pas prendre prétexte des tarifs américains pour faire respecter la Loi.

• Réduction des subventions. Le ministre Girard doit graduellement éliminer les programmes coûteux et inefficaces qui n’apportent rien à l’économie.

• Lancement d’un vaste chantier sur l’efficacité gouvernementale. Le ministre Girard doit demander une révision en profondeur des programmes, menée par le nouveau Conseil du trésor et de l’efficacité gouvernementale, afin de réduire le gaspillage et diminuer la taille de la fonction publique.

• Aucune augmentation du fardeau fiscal. Le ministre Girard ne doit pas augmenter les impôts ni les taxes, ce qui aggraverait encore la situation financière des Québécois. Au contraire, le PCQ propose qu’il diminue les taxes sur l’essence.

Une gestion gouvernementale catastrophique

« Il y a trop de subventions, trop de programmes, trop de fonctionnaires, trop de gaspillage », a répété Éric Duhaime.

Il rappelle que plusieurs prêts et subventions accordés par le gouvernement se sont avérés être des échecs majeurs ces dernières années, laissant les contribuables payer la facture : « 700 millions $ perdus dans Northvolt – 140$ par contribuable, 450 millions $ perdus dans Lion Électrique – 90$ par contribuable, 20 millions $ perdus dans Taïga – 4$ par contribuable et 26 millions $ perdus dans le panier bleu – 5$ par contribuable, pour n’en nommer que quelques-uns. »

Selon le chef conservateur, le gouvernement est un mauvais gestionnaire qui ne devrait pas prendre de risques avec l’argent durement gagné par les travailleurs.

« Le gouvernement n’est pas efficient. Il calcule mal le risque-rendement de ses investissements. Par exemple, SAAQ Clic devait coûter 638 millions $, mais la facture va atteindre au minimum 1,1 milliard $. Les maisons des aînés devaient coûter 400 000 $ par chambre, mais le coût final a été de 800 000 $. Le Fonds du développement économique devait développer l’économie, mais il nous a coûté près de 7 milliards $, » a-t-il dit en concluant.

Communiqué image Large consensus au sein de la population : il faut éliminer le gaspillage dans l’appareil gouvernemental

Large consensus au sein de la population : il faut éliminer le gaspillage dans l’appareil gouvernemental

Québec, le 11 mars 2025 – Le Parti conservateur du Québec propose de rebaptiser le Conseil du Trésor en Conseil du trésor et de l’efficacité gouvernementale, afin d’élargir son mandat pour mieux pour répondre à la volonté populaire des Québécois d’améliorer l’efficacité gouvernementale.

Le Conseil du trésor et de l’efficacité gouvernementale aurait comme mandat de réviser les programmes des différents ministères pour rationaliser l’appareil étatique, d’éliminer le gaspillage et de réduire intelligemment la taille de l’État.

Selon un sondage dévoilé par le chef conservateur, 68% des Québécois pensent qu’ils paient trop d’impôts par rapport à la qualité des services publics et 72% des Québécois pensent qu’il y a du gaspillage dans les dépenses de l’État.

Selon le chef conservateur, la population nous lance un message : le temps est venu d’examiner en profondeur le rôle de l’État-providence, une vache sacrée au Québec :

« La Commission Robillard nous aura appris que plusieurs dépenses étaient injustifiées, que le financement de la dette était insoutenable et que le mécanisme d’évaluation des programmes doit être transparent », a-t-il affirmé.

Le sondage Pallas, réalisé pour le compte du Parti conservateur du Québec, démontre aussi que 63 % des Québécois sont favorables à un examen complet de l’ensemble des programmes et dépenses du gouvernement du Québec et des sociétés d’État pour éliminer les gaspillages et les dépenses inutiles, contre seulement 23 % qui s’y opposent.

De plus, lorsqu’on leur demande s’ils sont favorables à une réduction de la taille de la fonction publique au Québec, 54 % des Québécois sont en faveur, contre seulement 32 % en défaveur.

« Les Québécois comprennent qu’ils paient trop d’impôts pour les services publics reçus. Il y a maintenant un large consensus au Québec : il est temps de faire le ménage dans les dépenses de l’État québécois », conclut le chef du PCQ.

Communiqué image La réputation du Québec dans le secteur énergétique : un désastre signé François Legault

La réputation du Québec dans le secteur énergétique : un désastre signé François Legault

Au lendemain de sa visite dans la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean, le chef du Parti conservateur du Québec, Éric Duhaime, déplore que François Legault ait détruit la réputation du Québec dans le secteur énergétique. Il appelle le gouvernement à agir rapidement pour rectifier la situation.

Lors de son passage à Saguenay, le chef conservateur a rencontré, notamment, des représentants de la Chambre de commerce et d’industrie Saguenay-Le Fjord, de Rio Tinto, ainsi que du Port Saguenay.

M. Duhaime constate que, malgré un fort appui des acteurs locaux et une acceptabilité sociale évidente, les promoteurs ont perdu confiance en ce gouvernement.

« François Legault a détruit la réputation du Québec. On ne peut pas appuyer un projet d’investissement dans une usine de GNL, puis adopter une loi interdisant l’exploration et l’exploitation des hydrocarbures, se retrouver devant les tribunaux face aux promoteurs, puis espérer qu’ils reviendront par la suite », a dénoncé Éric Duhaime.

L’investissement de 14 milliards de dollars à Saguenay aurait permis de générer des centaines de millions de dollars annuellement pour le Gouvernement du Québec, et de créer entre 2 000 et 4 000 emplois bien rémunérés durant la phase de construction. Quant au gaz naturel du Québec, il aurait permis d’éliminer la totale dépendance du Québec envers les États-Unis et l’Ouest canadien, qui nous coûte deux milliards de dollars par année et met en danger notre sécurité énergétique.

Le PCQ propose trois mesures pour redorer la réputation du Québec dans le secteur énergétique :

1. Annuler la Loi visant principalement à mettre fin à la recherche et à la production d’hydrocarbures ainsi qu’au financement public de ces activités.

2. Publier une politique énergétique ambitieuse visant l’autonomie énergétique du Québec, en appuyant :

o Le développement d’usines de liquéfaction de gaz sur l’ensemble du territoire.

o La construction de gazoducs et d’oléoducs.

o Un cadre réglementaire clair et incitatif pour encourager le développement du secteur énergétique.

3. Négocier avec les entreprises qui poursuivent le gouvernement en vue d’en arriver à une entente afin de leur permettre de reprendre leurs activités.

Communiqué image La CAQ doit s’attaquer aux vrais problèmes en santé, et non à des peccadilles

LA CAQ DOIT S’ATTAQUER AUX VRAIS PROBLÈMES EN SANTÉ, ET NON À DES PECCADILLES

Le Parti conservateur du Québec appelle le gouvernement à s’attaquer aux véritables problèmes du système de santé plutôt que d’interdire aux jeunes médecins de devenir des médecins non-participants à la RAMQ.

Selon le docteur Karim Elayoubi, le projet de loi 83 ne résoudra en rien les problèmes du réseau public et risque même d’aggraver la pénurie de médecins :

« En imposant aux nouveaux médecins de pratiquer exclusivement dans le secteur public, le gouvernement pourrait provoquer une fuite des diplômés vers d’autres provinces, ce qui est déjà le cas, ou une baisse du nombre de candidats en médecine. Il risque aussi de pousser les médecins à quitter le réseau après leurs cinq années d’obligation de service », a affirmé le porte-parole du PCQ en matière de santé.

« Le problème n’est pas l’exode de 136 nouveaux médecins de famille vers le privé, mais les mauvaises conditions de travail dans le public, qui ont poussé 2 000 médecins formés au Québec à exercer en Ontario. », a-t-il ajouté.

D’ailleurs, la Fédération médicale étudiante du Québec (FMEQ) a révélé que 57 % de ses membres envisagent de quitter le Québec si le projet de loi 83 est adopté. Faisant référence à la menace d’amendes pouvant atteindre 200 000 $ en cas de récidive et à l’obligation de travailler pour le système public, ces derniers estiment que le projet de loi est « coercitif » et « discriminatoire ».

Le PCQ propose de libéraliser le système de santé québécois

Plutôt que de restreindre le privé en santé, le Québec devrait s’inspirer des modèles européens performants où le secteur public coexiste avec le privé. Cette complémentarité permettrait une meilleure accessibilité aux soins et une réduction des délais d’attente.

Le PCQ propose d’ailleurs plusieurs solutions concrètes pour améliorer durablement le système de santé :

• Augmenter le nombre de médecins et d’infirmiers pour alléger la charge de travail et améliorer la qualité des soins.

• Doubler le nombre d’infirmières praticiennes spécialisées (IPS) afin de désengorger les urgences et faciliter l’accès aux soins.

• Décloisonner les professions médicales en élargissant les actes pouvant être réalisés par des psychologues, infirmières, pharmaciens, physiothérapeutes et ergothérapeutes.

• Décentraliser le réseau de santé pour réduire la bureaucratie et accélérer la prise de décision.

• Revoir le mode de financement des hôpitaux en favorisant un modèle basé sur la performance et les résultats plutôt que sur des budgets fixes.

• Recourir à une sous-traitance intelligente avec le secteur privé pour utiliser des infrastructures médicales plus efficaces tout en garantissant un accès équitable aux soins.

• Permettre aux médecins de pratiquer simultanément dans le public et le privé afin de maximiser les ressources disponibles et réduire les temps d’attente.

Communiqué image DUHAIME CÉLÈBRE LA FIN DE L’UNANIMISME À L’ASSEMBLÉE NATIONALE

DUHAIME CÉLÈBRE LA FIN DE L’UNANIMISME À L’ASSEMBLÉE NATIONALE

Le Parti conservateur du Québec salue la fin de l’unanimisme contre le gaz naturel et contre les oléoducs à l’Assemblée nationale.

Le député de Saint-Jérôme, Youri Chassin, a déposé (conjointement avec le député d’Arthabaska, Éric Lefebvre) une motion pour relancer le projet GNL Québec — un investissement estimé à 14 milliards $ dans un complexe de liquéfaction de gaz naturel au Saguenay — et pour réévaluer la construction d’oléoducs sur le territoire québécois.

« C’est un grand jour. Pour la première fois depuis 2021, ce sujet est discuté à l’Assemblée nationale. C’est dommage qu’il ait fallu une guerre commerciale avec les États-Unis pour nous faire réaliser l’importance d’être autonomes en matière énergétique et de diversifier nos marchés », a affirmé le chef conservateur, Éric Duhaime.

Le gouvernement rejette la motion

« J’ai été consterné de voir la CAQ et le PQ refuser de débattre de projets qui permettraient de réduire notre dépendance énergétique face aux États-Unis et qui seraient excellents pour le développement économique du Québec », a déclaré le chef conservateur.

Selon lui, cette décision est d’autant plus incohérente que, la veille, François Legault avait affirmé qu’en présence d’acceptabilité sociale, il serait prêt à réexaminer la faisabilité de GNL Québec. La ministre fédérale des Affaires étrangères, Mélanie Joly, avait également tenu des propos similaires devant la Chambre de commerce du Montréal métropolitain.

« François Legault, en refusant de réévaluer sa position sur GNL Québec, en refusant de reconnaître l’importance de la collaboration entre les provinces dans cette guerre économique, se contredit, en plus de ramer dans le sens inverse d’à peu près tous les pays développés qui cherchent à diversifier leurs exportations », a-t-il dit.

Le Parti conservateur du Québec rappelle trois raisons fondamentales pour lesquelles la motion aurait dû être approuvée :

• Réduire notre dépendance envers les États-Unis. Il est primordial de diversifier nos marchés afin d’assurer notre sécurité économique et énergétique pour réduire notre dépendance envers les États-Unis.

• Avec un déficit de 11 milliards de dollars, le gouvernement du Québec doit explorer de nouvelles avenues pour accroître ses revenus, sans alourdir le fardeau fiscal des contribuables.

• Deux sondages SOM/KYK démontrent que les Saguenéens sont près de deux fois plus nombreux à appuyer la relance du projet GNL Québec qu’à s’y opposer.

• Selon un sondage IPSOS, 78 % des Québécois préféreraient importer leur pétrole de l’Ouest canadien, plutôt que des États-Unis ou ailleurs dans le monde.

Communiqué image LE PARTI CONSERVATEUR PRÉSENTE TROIS SOLUTIONS AUX TARIFS AMÉRICAINS

LE PARTI CONSERVATEUR PRÉSENTE TROIS SOLUTIONS AUX TARIFS AMÉRICAINS

Le Parti conservateur du Québec demande au gouvernement des actions concrètes pour aider les travailleurs et les entreprises à faire face à la menace de tarifs américains, plutôt que de s’attarder à des mesures secondaires comme boycotter le jus d’orange de la Floride ou d’autres produits.

« François Legault doit immédiatement prendre des mesures draconiennes pour sauver nos entreprises et nos travailleurs », fait valoir Éric Duhaime.

Le Parti conservateur du Québec propose trois solutions pour faire face aux tarifs :

1. La véritable autonomie est d’abord d’être autosuffisant en matière énergétique et d’exporter vers plusieurs marchés ces richesses. Le Parti conservateur du Québec invite le gouvernement Legault à revoir trois de ses décisions qui rendent le Québec et le Canada plus dépendants des États-Unis, soit :

· Relancer GNL-Québec, un investissement estimé à 14 milliards $ dans une usine de liquéfaction de gaz naturel au Saguenay, afin de développer de nouveaux marchés.

· Exploiter l’énorme réserve de gaz naturel qui dort sous nos pieds dans le champ gazier Utica.

· Construire de nouveaux oléoducs passant sur le territoire québécois, pour diversifier nos marchés pour le gaz et le pétrole canadiens.

 

2. Le Parti conservateur enjoint le premier ministre du Québec et ses homologues des autres provinces à libéraliser les échanges interprovinciaux. Le Québec compte trop d’exceptions (36) au libre-échange entre les provinces. « Avant de commencer à mettre des tarifs sur les produits américains, François Legault doit se regarder dans le miroir. Certains de nos produits sont jusqu’à 15 % plus chers à cause des barrières interprovinciales. Il faut que les gouvernements canadiens travaillent ensemble pour faire baisser la facture des contribuables », ajoute monsieur Duhaime. Le chef conservateur demande aussi au chef péquiste, Paul St-Pierre Plamondon, de mettre son projet de référendum sur la glace. « Maintenant que nos échanges vers notre voisin du Sud sont compromis, la dernière chose à faire serait d’insécuriser nos échanges avec notre voisin canadien à l’Est et à l’Ouest. Monsieur Plamondon doit agir de manière responsable et avoir la maturité de reporter à beaucoup plus tard son rêve référendaire. »

 

 

3.Finalement, le Parti conservateur propose d’améliorer la compétitivité des entreprises québécoises en réduisant leur fardeau fiscal et réglementaire, notamment de réduire massivement les subventions aux entreprises étrangères pour financer de généreuses baisses de taxes et d’impôts pour les PME. « Avec les baisses d’impôts massives et l’abandon des dépenses vertes aux États-Unis, François Legault doit réduire les impôts, les taxes et la réglementation, afin de maintenir notre compétitivité », conclut le chef conservateur.

Communiqué image « Éric Girard doit réduire l’impôt sur le gain » - Adrien Pouliot

« ÉRIC GIRARD DOIT RÉDUIRE L’IMPÔT SUR LE GAIN » – ADRIEN POULIOT

Le Parti conservateur du Québec réclame du ministre des Finances, Éric Girard, qu’il annonce immédiatement une baisse du taux d’impôt sur le gain en capital au Québec.

La prorogation du Parlement par Justin Trudeau entraînera la dissolution imminente du Parlement, ce qui annulerait la hausse de la portion imposable des gains en capital, puisqu’il s’agissait d’une motion de voies et moyens, mais qu’aucun projet de loi n’avait été déposé à la Chambre des communes.

En avril dernier, l’argentier du gouvernement du Québec avait affirmé qu’il était important d’harmoniser ce taux entre les différents paliers gouvernementaux pour assurer la « cohésion fiscale » et pour éviter une « complexité inutile ».

Selon le porte-parole en économie du Parti conservateur du Québec, Adrien Pouliot, puisque la hausse fédérale n’aura pas lieu, la CAQ devrait faire marche arrière sur cette hausse de l’impôt sur le gain en capital. Il estime qu’en maintenant une surtaxe sur le gain en capital, M. Girard risque de provoquer une fuite de capitaux, réduisant la richesse et abaissant le niveau de vie des Québécois.

Toujours selon lui, une réduction de l’impôt de l’impôt sur le gain en capital aurait un impact direct et positif sur l’économie québécoise : « Réduire l’impôt sur les gains en capital stimulera la construction de nouveaux logements, une solution essentielle et urgente à la crise du logement. En plus, ça attirera des investissements étrangers et rendra nos PME plus compétitives, un atout dans le contexte économique actuel », a-t-il dit.

M. Pouliot rappelle également que ce ne sont pas les propriétaires de duplex qui investissent pour leur retraite, ni les propriétaires de PME, qui devraient être pénalisés par les dépenses inutiles et la mauvaise gestion des fonds publics du gouvernement.

Le Parti conservateur du Québec demande donc au ministre Girard d’agir rapidement pour harmoniser le taux d’imposition avec celui du gouvernement fédéral afin d’atténuer la crise du logement, protéger les placements pour la retraite des Québécois, et favoriser la croissance économique.

Communiqué image LE PARTI CONSERVATEUR DU QUÉBEC ANNONCE OFFICIELLEMENT LA CANDIDATURE D’ANGE CLAUDE BIGILIMANA DANS TERREBONNE.

LE PARTI CONSERVATEUR DU QUÉBEC ANNONCE OFFICIELLEMENT LA CANDIDATURE D’ANGE CLAUDE BIGILIMANA DANS TERREBONNE.

Le Parti conservateur du Québec est fier d’annoncer qu’Ange Claude Bigilimana, ingénieur et conseiller en bâtiments d’origine rwandaise, portera les couleurs conservatrices dans la circonscription de Terrebonne, où il réside depuis plus de 10 ans.

Ange Claude Bigilimana a un parcours unique et inspirant. À l’âge de 11 ans, sa famille a fui le Rwanda pour échapper au génocide et à la guerre civile. Pendant sept ans, ils ont traversé l’Afrique à pied, allant d’un camp de réfugiés à un autre, avant de s’installer au Québec.

Mais M. Bigilimana refuse de se considérer victime : « C’est trop facile aujourd’hui de tomber dans la surenchère victimaire. Je suis fier du chemin que j’ai parcouru et je savoure chaque jour les opportunités que m’offre la terre d’accueil québécoise », a-t-il dit.

Sur le plan académique, M. Bigilimana est diplômé en sciences de la nature du cégep Montmorency et détient un baccalauréat en génie électrique de l’École de technologie supérieure, spécialisé en structure du bâtiment. Il est actuellement chargé de projets à l’Institut universitaire en santé mentale Douglas et propriétaire d’une entreprise d’entretien ménager.

Vice-président national du Parti conservateur du Québec, M. Bigilimana s’implique activement dans la communauté de Terrebonne. Il est membre de la Chambre de commerce et d’industrie Les Moulins, du conseil d’administration du Réseau ÉTS, et du conseil d’administration du CPE de son quartier. Il préside également le conseil d’établissement de l’école locale et a siégé auparavant au comité de parents du CSSDA.

Lors de l’annonce de sa candidature, M. Bigilimana a déclaré vouloir défendre les intérêts des contribuables : « Je veux représenter les jeunes qui n’ont plus accès à la propriété, les aînés qui ont payé trop de taxes et d’impôts pour les services de santé rendus, et les parents qui s’opposent à l’idéologie woke dans nos écoles publiques », a-t-il affirmé, tout en accusant le gouvernement Legault de « vouloir plaire aux élites de Montréal avant d’écouter le vrai monde » sous les applaudissements des partisans conservateurs.

Communiqué image LE GOUVERNEMENT A LA BATTERIE À TERRE

LE GOUVERNEMENT A LA BATTERIE À TERRE

Alors que la session parlementaire se termine, le chef du Parti conservateur du Québec, Éric Duhaime, constate que le bilan du gouvernement caquiste est marqué par le fiasco de la filière batteries.

« De Northvolt à Lion Électrique, en passant par Taïga ou Vision Marine, le gouvernement Legault a dilapidé les fonds publics et confirme, avec sa mise à jour économique, qu’il termine l’année avec le pire déficit de l’histoire du Québec à 11 milliards $ », dénonce le chef conservateur.

Aux yeux d’Éric Duhaime, le départ fracassant du député Youri Chassin du caucus de la CAQ illustre bien la perte de confiance des Québécois envers le gouvernement de la CAQ.

« Même en manipulant les chiffres, la CAQ est incapable de dissimuler son incompétence et confirme son déficit historique de 11 milliards $. Ce sont les prochaines générations qui devront payer la facture parce que ce gouvernement gaspille l’argent des contribuables, mais reste incapable d’augmenter les revenus de l’État autrement qu’en alourdissant le fardeau fiscal des citoyens », ajoute le chef conservateur.

De son côté, le Parti conservateur du Québec propose des baisses de taxes et d’impôts afin de stimuler une croissance économique indépendante du gouvernement. Pour financer cet allègement du fardeau fiscal, le PCQ suggère d’exploiter le gaz naturel, d’éliminer les subventions aux multinationales et de réduire le nombre de fonctionnaires.

« Les familles québécoises ont de plus en plus de misère à boucler leurs fins de mois. L’inflation frappe fort. Seul le Parti conservateur du Québec priorise de remettre de l’argent dans les poches des Québécois pour aider à payer l’épicerie, à renouveler l’hypothèque ou à se loger décemment. Nous sommes le Parti du contribuable », ajoute monsieur Duhaime.

Le Parti conservateur se félicite aussi d’avoir déposé deux mémoires, notamment celui rédigé dans le cadre de sa campagne « Mon Char, Mon Choix », en vue de contrer l’interdiction de la vente de véhicules hybrides et à essence.

« Le gouvernement ne peut obliger une famille qui peine à boucler son budget à s’acheter une voiture électrique à 79 000 $ ni à un travailleur en région de s’adapter alors que l’autonomie est limitée et que les bornes de recharge sont rares. C’est irresponsable, irréfléchi et illogique », a déclaré le chef conservateur.

Quant au constat de la progression des conservateurs chez les jeunes, monsieur Duhaime conclut : « c’est normal que la première génération à vivre plus pauvrement que ses parents, cherche des solutions concrètes à ses problèmes, et se tourne vers le seul parti qui souhaite rétablir l’équité entre les générations ».

 

Communiqué image DUHAIME PROPOSE UN PLAN AFIN DE SE PRÉPARER À L’ARRIVÉE DE DONALD TRUMP

DUHAIME PROPOSE UN PLAN AFIN DE SE PRÉPARER À L’ARRIVÉE DE DONALD TRUMP

Le chef du Parti conservateur du Québec, Éric Duhaime, a présenté aujourd’hui des mesures que devrait mettre en place le gouvernement Legault afin de mieux préparer le Québec à l’arrivée de Donald Trump à la présidence des États-Unis.

« En matière de sécurité à nos frontières, de contrôle de l’immigration illégale et de drogues, en particulier le fentanyl, le Canada doit évidemment montrer un front uni et collaborer avec nos voisins en vue d’éradiquer ces deux fléaux », lance monsieur Duhaime.

Là où les conservateurs s’inquiètent bien davantage, c’est sur le plan économique. Donald Trump a promis de réduire la taille de l’État américain, de réduire la réglementation, de réduire les taxes et les impôts des Américains.

« Les Québécois paient déjà beaucoup plus de taxes et d’impôts que nos voisins du Sud. Nous sommes déjà beaucoup plus réglementés. L’État québécois est aussi beaucoup plus gros. Si l’on ne fait rien, l’écart entre le Québec et les États-Unis ne va que se creuser, au désavantage du Québec. Nos entreprises seront moins compétitives. Les investisseurs seront encore plus incités à aller ailleurs. Une pression accrue s’exercera sur nos jeunes cerveaux pour quitter », s’inquiète le chef conservateur.

À titre d’exemple, Éric Duhaime cite une étude de l’Institut Fraser qui calcule le taux marginal d’imposition des Québécois, les plus taxés du continent, versus les Floridiens, les moins taxés du continent.

Pour un travailleur ayant gagné 50,000$ en 2023, le taux marginal d’imposition du Québécois est de 31,53% contre seulement 12% pour le Floridien. À 100,000$, c’est 36,12% de taux marginal d’imposition au Québec contre 22% en Floride. Finalement, avec un revenu imposable de 150,000$, le Québécois se retrouve avec un taux marginal d’imposition de 47,46% contre 24% pour le Floridien.

Selon le chef conservateur, le Québec doit préparer un plan en vue d’être beaucoup plus compétitif au lendemain de l’arrivée du président Trump à la Maison-Blanche s’il souhaite éviter un exode des cerveaux et des capitaux.

Le Parti conservateur propose :

  • De réduire le nombre d’employés dans la fonction publique québécoise, comme le gouvernement s’y était engagé.
  • De revoir l’ensemble de sa réglementation en vue de ne pas désavantager les entreprises québécoises par rapport à celles américaines.
  • De réduire le fardeau fiscal des travailleurs et des entreprises d’ici afin de ne pas creuser davantage l’écart avec les Américains.