Communiqué image La députée Maïté Blanchette Vézina participera au congrès des conservateurs

La députée Maïté Blanchette Vézina participera au congrès des conservateurs

La députée de Rimouski, Maïté Blanchette Vézina, assistera au congrès des membres du Parti conservateur du Québec et y prononcera un discours sur l’autonomie des régions.

« Le Québec a besoin d’un véritable parti des régions et je suis heureuse que mon expérience puisse servir au développement du programme régional du Parti conservateur », a déclaré madame Blanchette Vézina.

Le Parti conservateur du Québec tiendra son Congrès national des membres au Manoir du Lac Delage les 31 janvier et 1er février prochains. Éric Duhaime envoie ainsi le message qu’il souhaite agrandir la tente conservatrice. Après avoir récemment présenté l’ex-organisatrice de Karl Blackburn à la chefferie libérale comme candidate conservatrice dans Chicoutimi, il annonce aujourd’hui la venue d’une ex-ministre caquiste devant les militants conservateurs et promet d’adopter, au congrès de janvier, des politiques solides, pragmatiques et rassembleuses.

« Je suis très heureux d’accueillir Maïté à notre prochain congrès. Cette députée partage avec nous des valeurs et une vision pour les régions du Québec. J’ai très hâte de l’entendre interagir avec nos militants. Le temps est venu de passer à une nouvelle étape dans la croissance du parti et Maïté symbolise bien cette ouverture », conclut le chef conservateur.

Communiqué image Bilan de session : Les idées conservatrices progressent au Québec

Bilan de session : Les idées conservatrices progressent au Québec

Le chef du Parti conservateur du Québec, M. Éric Duhaime, a fait le bilan de la session parlementaire des conservateurs.

« Le temps nous donne raison : le gouvernement a reculé sur l’interdiction de vendre des véhicules à essence, a engagé une réforme du régime syndical, a reconnu l’importance de faire baisser le prix du gaz, de réduire la taille de la fonction publique, d’améliorer l’efficacité de l’État, de diminuer la paperasse pour les entrepreneurs et de déposer une constitution pour renforcer l’autonomie du Québec », a plaidé le chef conservateur.

D’ailleurs, il rappelle que plusieurs sondages présentés cette session par le Parti conservateur du Québec confirment la volonté d’une majorité de Québécois d’aller en ce sens, notamment concernant l’abolition de la taxe carbone, la liberté de choisir son véhicule, et la démocratie et la transparence syndicale.

« La CAQ voit bien qu’elle fonce dans un mur et qu’elle n’a plus d’autre choix que de piger dans notre programme. C’est tant mieux, mais les Québécois ne sont pas dupes, la CAQ a fait campagne à droite en 2018 et 2022, puis a systématiquement gouverné à gauche. C’est trop peu, trop tard », a affirmé Éric Duhaime.

Celui qui est sorti publiquement avec le député indépendant Youri Chassin, l’ex-ministre caquiste Maïté Blanchette Vézina, et le député solidaire Alexandre Bolduc, sur différents sujets, a affirmé vouloir continuer de collaborer pour l’intérêt des Québécois :

« Pendant que les autres partis étaient en mode gestion de crise, nous, on était en mode solutions. On voulait continuer sur notre belle lancée dans Arthabaska, et force est d’admettre que ça a été notre meilleure session », a-t-il dit.

À l’occasion de son bilan, le chef conservateur était accompagné de sa candidate pour l’élection partielle dans Chicoutimi, Catherine Morissette, qui aspire à devenir le porte-voix de ses électeurs :

« Si je suis ici, c’est parce que le Parti conservateur du Québec mérite d’être entendu à l’Assemblée nationale, mais aussi les citoyens de Chicoutimi. Je veux donner une voix à des idées et à une population qui ont trop souvent été oubliées par nos décideurs publics », a affirmé Mme Morissette.

Communiqué image Ville de Québec : Duhaime satisfait de ses rencontres avec le maire et le chef de l’opposition

Ville de Québec : Duhaime satisfait de ses rencontres avec le maire et le chef de l’opposition

Le chef du Parti conservateur du Québec, M. Éric Duhaime, et l’ex-candidate conservatrice dans Taschereau, Mme Marie-Josée Hélie, ont rencontré le maire de la ville de Québec, M. Bruno Marchand, le chef de l’opposition officielle, M. Stéphane Lachance, ainsi que des conseillers municipaux lors d’une visite à l’hôtel de ville de Québec.

Les rencontres ont permis de mettre en lumière les défis que vit la Ville, notamment en matière de transport. Ils ont discuté de l’importance de ne pas déchiqueter la ville avec un 3e lien centre-ville à centre-ville.

« Le point où nous sommes tous d’accord : le tracé centre-ville à centre-ville du 3e lien de la CAQ n’est pas le meilleur », affirme M. Duhaime.

Selon le Parti conservateur du Québec, la décentralisation vers les municipalités est essentielle car aujourd’hui leurs actions vont bien au-delà des services à la propriété : habitations, services sociaux, transport et sécurité publique. M. Duhaime et les élus de Québec sont d’accord pour dire que les décisions doivent être prises le plus près possible des citoyens.

Communiqué image Élection partielle dans Chicoutimi : Catherine Morissette candidate conservatrice

Élection partielle dans Chicoutimi : Catherine Morissette candidate conservatrice

Le chef du Parti conservateur du Québec, M. Éric Duhaime, est fier d’annoncer que Mme Catherine Morissette sera la candidate conservatrice lors de l’élection partielle dans la circonscription de Chicoutimi.

L’annonce officielle a été faite dans leur local électoral, situé à Chicoutimi-Nord, devant des militants conservateurs et proches de la candidate.

« Catherine incarne bien les valeurs de notre parti : femme d’affaires, elle connaît la réalité du milieu économique de la région. Ancienne mairesse et conseillère municipale, elle saura défendre les intérêts des gens de Chicoutimi et du Saguenay. Nous sommes fiers de la compter parmi nous », déclare M. Duhaime.

Propriétaire d’un salon de coiffure et copropriétaire d’un restaurant, Catherine Morissette est originaire de Chicoutimi. Elle a été conseillère municipale (2013-2016) et mairesse de la municipalité de Saint-David-de-Falardeau (2016-2021). Elle est également chroniqueuse politique à CKAJ. Mme Morissette connaît les réalités que vivent les citoyennes et les citoyens de la région. Comme entrepreneure, elle sait l’importance de garder des emplois et stimuler l’économie.

« Comme députée de Chicoutimi, je ne serai pas la représentante du Parti conservateur à Chicoutimi, je serai la représentante de Chicoutimi à l’Assemblée nationale avec le Parti conservateur comme véhicule », affirme Mme Morissette.

Communiqué image Sécurité publique : « Les bottines de Legault doivent suivre ses babines »

Sécurité publique : « Les bottines de Legault doivent suivre ses babines »

Québec, le 3 décembre 2025 – Le chef du Parti conservateur du Québec, Éric Duhaime, dénonce les compressions de 60 millions de dollars imposées par le gouvernement de François Legault à la Sureté du Québec.

« C’est une mission essentielle et exclusive de l’État d’assurer la sécurité des Québécois. Personne ici ne devrait avoir peur d’aller dans le métro, d’ouvrir une entreprise ou de sortir le soir pour promener son chien », a affirmé d’entrée de jeu le chef conservateur.

Selon lui, le gouvernement envoie un message contradictoire en affirmant vouloir renforcer la loi et l’ordre, tout en réduisant les budgets des forces policières.

« Pendant que le sentiment de sécurité se détériore à Montréal, en raison de la hausse des agressions sexuelles, des voies de fait et des vols, que des jeunes circulent désormais armés à Québec pour se protéger, et que l’extorsion des commerçants explose à Laval, le gouvernement, lui, agit comme si la sécurité publique n’était pas une priorité », a-t-il affirmé.

Son porte-parole en matière de Justice, Me Jonathan Poulin, est du même avis : « la criminalité est en baisse au Canada, mais en hausse au Québec. Ce n’est pas le temps de réduire les budgets ou couper dans les effectifs, au contraire, ils doivent être augmentés », a-t-il déclaré.

D’ailleurs, il propose plusieurs solutions pour réduire la criminalité et diminuer le sentiment d’insécurité au Québec, notamment l’augmentation des effectifs policiers et la réintroduction des peines minimales par Ottawa.

« Au lieu de disperser des subventions dans 2 300 programmes ou pire, de couper à la Sûreté du Québec, le gouvernement devrait analyser les besoins des grandes villes comme Montréal, Québec, Laval, Gatineau, afin d’offrir une aide ponctuelle ciblée pour combler les lacunes en matière d’effectifs », a affirmé Me Poulin.

« La Presse révélait hier que les victimes de violence conjugale se sentent de moins en moins en sécurité, avec un suivi réduit et des bracelets antirapprochement parfois inefficaces. Pour rassurer ces femmes, il faut que les criminels purgent leurs peines derrière les barreaux, et non à domicile. M. Jolin-Barrette doit faire pression sur son homologue fédéral pour réviser la Loi C-5, qui permet les peines avec sursis pour les infractions sexuelles », a-t-il conclu.

Communiqué image Mise à jour économique : Les conservateurs déçus que le gouvernement n’abolisse pas la taxe carbone

Mise à jour économique : Les conservateurs déçus que le gouvernement n’abolisse pas la taxe carbone

Québec, le 25 novembre 2025 – Le Parti conservateur du Québec déplore que l’idée évoquée par le gouvernement d’utiliser les sommes du Fonds vert pour financer une baisse du prix de l’essence ne se soit pas matérialisée.

« L’inflation est plus élevée au Québec qu’ailleurs, et tous les Québécois en souffrent, pendant que le gouvernement en profite pour augmenter ses revenus. L’abolition de la taxe carbone du Québec aiderait notamment à faire baisser le prix à la pompe, le coût du panier d’épicerie, ainsi que les charges pour nos entreprises, en particulier celles touchées par les tarifs américains », a déclaré le chef conservateur, Éric Duhaime.

« Si le gouvernement veut aider rapidement les agriculteurs et l’industrie forestière, deux secteurs touchés par les tarifs américain, qu’il commence par abolir la taxe carbone, qui coûte en moyenne 7 000 $ à chaque agriculteur et 10,000 $ à chaque entreprise du secteur forestier », a ajouté Éric Duhaime.

Selon Adrien Pouliot, porte-parole en économie du Parti conservateur du Québec, l’abolition de la taxe carbone québécoise n’augmenterait pas le déficit, puisqu’elle sert à renflouer les coffres du Fonds vert, qu’il propose d’abolir :

« La meilleure contribution du Québec à la lutte aux changements climatiques, ce n’est pas de financer des désastres comme Northvolt avec le Fonds vert mais plutôt c’est d’aider les pays dans leurs propres efforts en leur vendant le gaz naturel qui gît sous nos pieds et qui émet beaucoup moins de GES que le charbon qu’il remplacerait », a-t-il dit.

« Et en bonus, le Québec s’enrichirait et pourrait ainsi réduire l’écrasant fardeau fiscal qui nous étouffe », a-t-il ajouté.

De plus, le Parti conservateur du Québec déplore que le coût du financement de la dette soit beaucoup plus élevé que prévu par le gouvernement :

« Le gouvernement doit rapidement retourner à l’équilibre budgétaire, chaque dollar ajouté à la dette représente un impôt reporté aux prochaines générations. C’est de l’argent qu’on ne peut pas remettre dans les poches des citoyens, ni utiliser pour améliorer les soins de santé ou investir en éducation », a expliqué le porte-parole conservateur en matière d’économie, Adrien Pouliot.

Communiqué image Réforme du régime syndicale : les conservateurs réclament plus de transparence et de démocratie

Réforme du régime syndicale : les conservateurs réclament plus de transparence et de démocratie

Le Parti conservateur du Québec dépose un mémoire à la Commission de l’économie et du travail dans le cadre des consultations particulières sur le projet de loi n° 3 du ministre Jean Boulet.

Même s’il reste sur sa faim, le chef conservateur estime que ce projet de loi améliorera le rapport de force des travailleurs envers leur syndicat, notamment en matière de transparence et grâce à la mise en place d’une cotisation facultative.

« C’est une bonne première étape pour la démocratie syndicale, mais le projet de loi ne protège pas les travailleurs contre la pression exercée pour atteindre le seuil de 50 % de cartes signées. La signature d’une carte ne signifie pas nécessairement que l’employé souhaite être représenté. Peut-être qu’il a simplement cédé à la pression de collègues ou voulu mettre fin aux sollicitations du syndicat », a précisé Éric Duhaime.

Selon un récent sondage commandé par le Parti conservateur du Québec, 74 % des Québécois sont en faveur de l’imposition d’un vote secret pour l’accréditation syndicale.

Pour permettre aux travailleurs de prendre des décisions éclairées quant au choix de leur représentant, puis d’évaluer la qualité de ses services sans crainte de représailles, le Parti conservateur du Québec estime que l’anonymat des membres doit être respecté lorsqu’ils demandent une copie des états financiers.

« Puisque les contribuables financent les salaires des syndicats du secteur public, l’accès à l’information doit être facilité pour tous. Le projet de loi 3 devrait donc inclure l’obligation de rendre publics les états financiers et les rapports sur l’utilisation des ressources », a affirmé le chef conservateur.

Communiqué image STM : IL EST TEMPS DE SORTIR DES SENTIERS BATTUS.

STM : IL EST TEMPS DE SORTIR DES SENTIERS BATTUS.

Éric Duhaime, chef du Parti conservateur du Québec, estime qu’il est temps d’examiner sérieusement la possibilité d’impartir les services d’autobus et de transport adapté de la Société de transport de Montréal selon le modèle d’EXO.

« La grève des chauffeurs et des employés d’entretien de la STM est un bon moment pour revoir le modèle dépassé du monopole syndiqué de transport collectif qui prend le contribuable et l’usager, surtout l’usager vulnérable, en otage » a-t-il affirmé d’entrée de jeu.

Le modèle de concurrence, où une autorité de transport établit les niveaux de service mais délègue la prestation du service, est répandu non seulement partout au monde mais il existe ici même, dans notre cour. Cette approche est déterminante pour le bien des usagers et la qualité des services.

EXO comme modèle

EXO utilise en effet des opérateurs privés pour une grande partie de ses services de transport en commun dans la région métropolitaine de Montréal, couvrant les couronnes nord (au nord de Laval) et sud (au sud de Longueuil) pour environ 4,2 millions d’habitants sur 4 400 km². EXO gère 17 contrats pour les bus (5 pour la couronne nord, 12 pour la couronne sud) et 6 pour les minibus de transport adapté.

EXO est responsable de la planification, de la coordination et de la supervision du réseau, mais elle impartit (sous-traite ou délègue) l’exploitation quotidienne des bus, du transport adapté (TA) et même des trains à des entreprises privées via des contrats compétitifs. Ce modèle hybride permet à EXO de se concentrer sur la gouvernance tout en bénéficiant de l’expertise privée pour réduire les coûts et améliorer l’efficacité.

Des sommes colossales en économie

Selon le porte-parole en économie et finances publiques du Parti, Adrien Pouliot, une telle impartition pourrait permettre des épargnes substantielles. Si les coûts des nouveaux opérateurs se comparaient à ceux des opérateurs d’EXO, l’épargne annuelle pourrait approcher les 426 millions de dollars par année.

« Les conditions d’exploitation sont différentes entre un service interurbain et un service urbain mais l’expérience internationale indique que l’impartition peut apporter des efficacités opérationnelles importantes », a-t-il affirmé.

L’expérience internationale

Par exemple, à Londres et ailleurs au Royaume-Uni, les services d’autobus ont été privatisés et fait place à la concurrence. À Londres, les coûts d’exploitation par véhicule-kilomètre ajustés pour l’inflation ont chuté de 28 % entre 1985-1986 et 2008-2009 alors qu’à l’extérieur de Londres, cette réduction a été particulièrement forte jusqu’à la fin des années 1990 (voir figure en annexe). Par la suite, les coûts d’exploitation ont légèrement augmenté, mais cette modeste hausse a largement résulté d’une montée des coûts du carburant.

L’exemple du Royaume-Uni a été suivi à Melbourne, Stockholm, Copenhague, Buenos Aires et Santiago, entre autres.

« Le Québec a su innover en créant les Conseils intermunicipaux de transports (intégrés à EXO en 2017). Il est maintenant temps, pour le bien des usagers, de moderniser le modèle de transport collectif qui est arrivé à ses limites et d’innover comme les autres grandes métropoles du monde pour l’adapter aux nouvelles réalités et besoins d’aujourd’hui », a conclu M. Duhaime.

Communiqué image PL2 : « Une loi spéciale soviétique », selon le Dr Elayoubi

PL2 : « Une loi spéciale soviétique », selon le Dr Elayoubi

Le porte-parole en santé du Parti conservateur du Québec, le Dr Karim Elayoubi, se désole de la dérive coercitive du gouvernement, qui imposera sa réforme par une loi spéciale.

« Cette approche autoritaire trahit un gouvernement qui confond leadership et coercition, réforme et contrôle bureaucratique », a affirmé d’entrée de jeu le Dr Elayoubi.

Le PCQ propose l’arbitrage non exécutoire

Le Parti conservateur du Québec estime que l’arbitrage non exécutoire permettra d’éviter les impasses politiques en évaluant objectivement les différends contractuels.

« En brandissant la menace d’une loi spéciale, le gouvernement Legault s’engage sur une voie dangereuse et stérile. On ne bâtit pas un climat de collaboration par la force. On ne résout pas des enjeux de gouvernance par des ultimatums », a affirmé le porte-parole en matière de santé du PCQ.

Lier la rémunération des médecins à la performance collective: une fausse bonne idée

Selon le Dr Elayoubi, lier la rémunération des médecins à la performance collective n’aidera pas les patients. Au contraire, cette mesure risquerait d’en pousser plusieurs à s’exiler vers d’autres provinces ou à privilégier la quantité de patients vus au détriment de la qualité des soins. Le Parti conservateur du Québec est toutefois d’accord pour qu’une partie du salaire des médecins incluse davantage la capitation.

« Nous ne sommes pas contre l’idée d’instaurer des facteurs de performance individuelle, mais rendre un médecin dépendant du travail des autres médecins sur leur paie est carrément insensé », a-t-il dit.

D’ailleurs, sous un gouvernement du Parti conservateur du Québec, le projet de loi 2 ne serait pas nécessaire, puisqu’un médecin pourrait choisir librement son employeur et un patient choisir librement son médecin. Une telle concurrence permet d’établir un marché libre pour déterminer la rémunération.

« Nous croyons qu’un système de santé libéré du monopole étatique, où les cliniques privées et publiques peuvent coexister et collaborer, offrirait aux patients plus de choix et aux médecins plus de liberté », a dit le Dr Elayoubi. De plus, une telle concurrence permettrait d’établir un marché libre pour déterminer la rémunération.

« La loi spéciale déposée par le gouvernement illustre une dérive inquiétante. Elle encourage explicitement la délation et la surveillance intrusive, ce qui créera un climat de méfiance envers les pairs. Des inspections sporadiques par les fonctionnaires susciteront un faux sentiment de culpabilité chez les soignants. Les médecins doivent bénéficier de plus de liberté professionnelle et moins de contraintes administratives, le recours à l’arbitrage doit être privilégié dans la négociation, et la concurrence entre employeurs, en additionnant la contribution du secteur privé, doit se faire au bénéfice de tous les patients du Québec », a-t-il conclu.

 

Communiqué image DUHAIME LANCE LA CAMPAGNE « PRENDS TON GAZ ÉGAL » POUR FAIRE RÉDUIRE LE PRIX DE L’ESSENCE AU QUÉBEC

DUHAIME LANCE LA CAMPAGNE « PRENDS TON GAZ ÉGAL » POUR FAIRE RÉDUIRE LE PRIX DE L’ESSENCE AU QUÉBEC

Québec, le 8 avril 2025 – Le chef du Parti conservateur du Québec, Éric Duhaime, invite le gouvernement Legault à se retirer de la bourse carbone pour faire baisser le prix de l’essence au Québec.

« Il est inacceptable que les Québécois paient 26,6 cents/litre de plus que les Ontariens. Je dis à François Legault ´Prends ton gaz égal’ et assurez-vous, monsieur le premier ministre, que les automobilistes du Québec paient le gaz à un prix égal aux autres Canadiens », a lancé le chef conservateur.

L’écart des prix entre le Québec et les autres provinces s’est accentué depuis le 1er avril dernier, alors que le gouvernement fédéral a annulé sa taxe carbone. Seul le Québec a refusé de s’harmoniser avec les autres provinces canadiennes.

Le Québec a lancé sa bourse du carbone en 2013 qui a généré des revenus de plus de 10 milliards $, soit 3000$ par ménage québécois ayant une automobile.

Contrairement à la taxe fédérale, l’argent n’est pas retourné aux contribuables, mais sert plutôt à financer des initiatives vertes via le Fonds d’électrification et de changements climatiques (FECC).

« Ce Fonds est opaque et sert trop souvent à subventionner encore plus les grandes entreprises, souvent étrangères, aux dépens des automobilistes. En 10 ans, les émissions de GES ont diminué de 0,7% au Québec, ce qui équivaut à 0,001% de diminution des émissions mondiales. 10 milliards $ pour un millième de 1%. C’est assez! Pour aider à réduire considérablement les GES, le Québec doit exploiter son gaz naturel et l’exporter afin de remplacer les centrales au charbon par des centrales au gaz. On réduira les émissions de ces centrales de 60%, pas d’un millième de 1% », a conclu monsieur Duhaime.