Plus de gaz naturel, moins de Northvolt!

Québec, le 24 septembre 2024 — En marge des consultations publiques sur l’avenir énergétique du Québec, le chef conservateur annonce qu’un gouvernement du Parti conservateur du Québec déposera dès la première année de son mandat un projet de loi qui précisera les conditions dans lesquelles le Québec produira son gaz naturel de façon responsable.

« Le gouvernement a organisé des audiences publiques sur l’avenir énergétique du Québec sans donner la parole aux groupes favorables à l’exploitation du gaz naturel. Ils font la sourde d’oreille pour ne pas se rendre à l’évidence qu’il s’agit d’une solution qui nous permettrait à la fois de nous enrichir et d'atteindre l'autonomie énergétique », affirme Éric Duhaime.

Le chef conservateur affirme que l'autonomie énergétique du Québec doit passer par une plus grande diversité des sources d'énergie. Il reproche au gouvernement d’avoir mis tous ses œufs dans le même panier avec Northvolt : « Ce sont les contribuables québécois qui vont payer des milliards $ parce que des politiciens veulent bien paraître et pensent qu’ils connaissent le marché mieux que les entreprises ou les consommateurs », a-t-il affirmé.

Faire comme nos voisins du sud

Comme son prédécesseur, le président Obama, Kamala Harris est favorable à la production de gaz naturel dans l’État de la Pennsylvanie, d’où provient une grande partie du gaz américain et qui fait partie du même bassin gazéifié que le Québec.

Du gaz moins cher et 100% sécuritaire

En produisant ici le gaz naturel dont le Québec a besoin, et qui représente environ 13% de l’assiette énergétique actuelle, les consommateurs pourront bénéficier d’une réduction importante sur le coût du gaz qu’ils achètent puisqu’il est toujours moins cher de produire nous-même la ressource que de l’importer.

« Les grands gagnants de la production locale seront nos PME. Piliers de l’économie québécoise, nos PME sont plutôt dans le viseur de la CAQ, qui veut leur faire payer la hausse faramineuse des coûts d’électricité dans les prochaines années, mettant ainsi plusieurs petites entreprises du Québec à risque », a dit monsieur Duhaime.

D’énormes revenus pour le gouvernement

En plus de permettre le remplacement du gaz importé, qui contribue à hauteur de 2 milliards $ au déficit commercial du Québec, l’exportation de notre gaz générera des profits pour le gouvernement du Québec et plusieurs municipalités du Québec. Le gaz naturel d’ici pourra donc être exporté vers les marchés comme l’Europe, qui a qualifié le gaz naturel comme énergie de transition. Les nombreuses études démontrent que le potentiel commercial du Québec pourrait atteindre jusqu’à 250 milliards $ de dollars. Les nouvelles sommes pourraient, notamment, nous permettre de financer notre transition énergétique et enrichir les régions du Québec.

Plus de gaz naturel, moins de Northvolt!

Québec, le 24 septembre 2024 — En marge des consultations publiques sur l’avenir énergétique du Québec, le chef conservateur annonce qu’un gouvernement du Parti conservateur du Québec déposera dès la première année de son mandat un projet de loi qui précisera les conditions dans lesquelles le Québec produira son gaz naturel de façon responsable.

« Le gouvernement a organisé des audiences publiques sur l’avenir énergétique du Québec sans donner la parole aux groupes favorables à l’exploitation du gaz naturel. Ils font la sourde d’oreille pour ne pas se rendre à l’évidence qu’il s’agit d’une solution qui nous permettrait à la fois de nous enrichir et d'atteindre l'autonomie énergétique », affirme Éric Duhaime.

Le chef conservateur affirme que l'autonomie énergétique du Québec doit passer par une plus grande diversité des sources d'énergie. Il reproche au gouvernement d’avoir mis tous ses œufs dans le même panier avec Northvolt : « Ce sont les contribuables québécois qui vont payer des milliards $ parce que des politiciens veulent bien paraître et pensent qu’ils connaissent le marché mieux que les entreprises ou les consommateurs », a-t-il affirmé.

Faire comme nos voisins du sud

Comme son prédécesseur, le président Obama, Kamala Harris est favorable à la production de gaz naturel dans l’État de la Pennsylvanie, d’où provient une grande partie du gaz américain et qui fait partie du même bassin gazéifié que le Québec.

Du gaz moins cher et 100% sécuritaire

En produisant ici le gaz naturel dont le Québec a besoin, et qui représente environ 13% de l’assiette énergétique actuelle, les consommateurs pourront bénéficier d’une réduction importante sur le coût du gaz qu’ils achètent puisqu’il est toujours moins cher de produire nous-même la ressource que de l’importer.

« Les grands gagnants de la production locale seront nos PME. Piliers de l’économie québécoise, nos PME sont plutôt dans le viseur de la CAQ, qui veut leur faire payer la hausse faramineuse des coûts d’électricité dans les prochaines années, mettant ainsi plusieurs petites entreprises du Québec à risque », a dit monsieur Duhaime.

D’énormes revenus pour le gouvernement

En plus de permettre le remplacement du gaz importé, qui contribue à hauteur de 2 milliards $ au déficit commercial du Québec, l’exportation de notre gaz générera des profits pour le gouvernement du Québec et plusieurs municipalités du Québec. Le gaz naturel d’ici pourra donc être exporté vers les marchés comme l’Europe, qui a qualifié le gaz naturel comme énergie de transition. Les nombreuses études démontrent que le potentiel commercial du Québec pourrait atteindre jusqu’à 250 milliards $ de dollars. Les nouvelles sommes pourraient, notamment, nous permettre de financer notre transition énergétique et enrichir les régions du Québec.

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