Mise à jour économique : Les conservateurs déçus que le gouvernement n’abolisse pas la taxe carbone

Québec, le 26 novembre 2025

Québec, le 25 novembre 2025 – Le Parti conservateur du Québec déplore que l’idée évoquée par le gouvernement d’utiliser les sommes du Fonds vert pour financer une baisse du prix de l’essence ne se soit pas matérialisée.

« L’inflation est plus élevée au Québec qu’ailleurs, et tous les Québécois en souffrent, pendant que le gouvernement en profite pour augmenter ses revenus. L’abolition de la taxe carbone du Québec aiderait notamment à faire baisser le prix à la pompe, le coût du panier d’épicerie, ainsi que les charges pour nos entreprises, en particulier celles touchées par les tarifs américains », a déclaré le chef conservateur, Éric Duhaime.

« Si le gouvernement veut aider rapidement les agriculteurs et l’industrie forestière, deux secteurs touchés par les tarifs américain, qu’il commence par abolir la taxe carbone, qui coûte en moyenne 7 000 $ à chaque agriculteur et 10,000 $ à chaque entreprise du secteur forestier », a ajouté Éric Duhaime.

Selon Adrien Pouliot, porte-parole en économie du Parti conservateur du Québec, l’abolition de la taxe carbone québécoise n’augmenterait pas le déficit, puisqu’elle sert à renflouer les coffres du Fonds vert, qu’il propose d’abolir :

« La meilleure contribution du Québec à la lutte aux changements climatiques, ce n’est pas de financer des désastres comme Northvolt avec le Fonds vert mais plutôt c’est d’aider les pays dans leurs propres efforts en leur vendant le gaz naturel qui gît sous nos pieds et qui émet beaucoup moins de GES que le charbon qu’il remplacerait », a-t-il dit.

« Et en bonus, le Québec s’enrichirait et pourrait ainsi réduire l’écrasant fardeau fiscal qui nous étouffe », a-t-il ajouté.

De plus, le Parti conservateur du Québec déplore que le coût du financement de la dette soit beaucoup plus élevé que prévu par le gouvernement :

« Le gouvernement doit rapidement retourner à l’équilibre budgétaire, chaque dollar ajouté à la dette représente un impôt reporté aux prochaines générations. C’est de l’argent qu’on ne peut pas remettre dans les poches des citoyens, ni utiliser pour améliorer les soins de santé ou investir en éducation », a expliqué le porte-parole conservateur en matière d’économie, Adrien Pouliot.

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Mise à jour économique : Les conservateurs déçus que le gouvernement n’abolisse pas la taxe carbone

Québec, le 26 novembre 2025

Québec, le 25 novembre 2025 – Le Parti conservateur du Québec déplore que l’idée évoquée par le gouvernement d’utiliser les sommes du Fonds vert pour financer une baisse du prix de l’essence ne se soit pas matérialisée.

« L’inflation est plus élevée au Québec qu’ailleurs, et tous les Québécois en souffrent, pendant que le gouvernement en profite pour augmenter ses revenus. L’abolition de la taxe carbone du Québec aiderait notamment à faire baisser le prix à la pompe, le coût du panier d’épicerie, ainsi que les charges pour nos entreprises, en particulier celles touchées par les tarifs américains », a déclaré le chef conservateur, Éric Duhaime.

« Si le gouvernement veut aider rapidement les agriculteurs et l’industrie forestière, deux secteurs touchés par les tarifs américain, qu’il commence par abolir la taxe carbone, qui coûte en moyenne 7 000 $ à chaque agriculteur et 10,000 $ à chaque entreprise du secteur forestier », a ajouté Éric Duhaime.

Selon Adrien Pouliot, porte-parole en économie du Parti conservateur du Québec, l’abolition de la taxe carbone québécoise n’augmenterait pas le déficit, puisqu’elle sert à renflouer les coffres du Fonds vert, qu’il propose d’abolir :

« La meilleure contribution du Québec à la lutte aux changements climatiques, ce n’est pas de financer des désastres comme Northvolt avec le Fonds vert mais plutôt c’est d’aider les pays dans leurs propres efforts en leur vendant le gaz naturel qui gît sous nos pieds et qui émet beaucoup moins de GES que le charbon qu’il remplacerait », a-t-il dit.

« Et en bonus, le Québec s’enrichirait et pourrait ainsi réduire l’écrasant fardeau fiscal qui nous étouffe », a-t-il ajouté.

De plus, le Parti conservateur du Québec déplore que le coût du financement de la dette soit beaucoup plus élevé que prévu par le gouvernement :

« Le gouvernement doit rapidement retourner à l’équilibre budgétaire, chaque dollar ajouté à la dette représente un impôt reporté aux prochaines générations. C’est de l’argent qu’on ne peut pas remettre dans les poches des citoyens, ni utiliser pour améliorer les soins de santé ou investir en éducation », a expliqué le porte-parole conservateur en matière d’économie, Adrien Pouliot.

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