"Libre chez-nous!" - Le Parti conservateur du Québec dévoile son slogan électoral

Alors qu’en 1960, le Québec voulait être davantage maître chez lui à l’intérieur du Canada, aujourd’hui, les Québécois souhaitent être plus libres chez eux, à l’intérieur du Québec. Le slogan du Parti conservateur du Québec se veut donc un clin d’œil au slogan qui a possiblement le plus marqué l’imaginaire québécois, soit celui de Jean Lesage, « Maîtres chez-nous ».

Accompagné de candidat(e)s de la grande région de Québec, de Chaudière-Appalaches et de la Mauricie / Centre du Québec, Monsieur Duhaime a expliqué toute la signification du slogan qui marquera la campagne électorale des conservateurs et qui porte en lui tout ce que le parti propose aux Québécois :

« En 2022, le Parti conservateur du Québec propose de donner plus de liberté à tous les Québécois. Des travailleurs plus libres, à qui on laisse plus d’argent dans leurs poches grâce à nos baisses d’impôt. Des patients plus libres, qui peuvent se faire soigner au public et au privé, dans un système plus efficace, avec une assurance publique universelle. Des parents plus libres, qui peuvent choisir leurs garderies s’ils n’ont pas de places en CPE ou s’ils préfèrent un autre type de garde. Des Québécois plus libres, qui exploitent leurs hydrocarbures en vue de devenir autonomes en matière énergétique et ne plus dépendre du gaz et du pétrole étrangers. Des usagers du transport en commun plus libres, qui ont l’autobus gratuit à Québec plutôt qu’un inutile tramway qui coûte les yeux de la tête. »

« Libres chez-nous! », c’est respecter davantage la liberté de choix de chaque individu, plutôt qu’un gros gouvernement qui impose ses choix. « Libres chez-nous » témoigne finalement d’une approche différente de celle des années 60. Alors que les aspirations du Québec étaient d’abord collectives, elles sont de nos jours plus individuelles et personnelles. On est animé par la même volonté d’améliorer la vie des Québécois, mais on veut le faire dans nos propres vies d’abord pour que s’additionnent les changements, plutôt que d’imposer le changement à partir d’en-haut. », de conclure Éric Duhaime.