Réforme du régime syndicale : les conservateurs réclament plus de transparence et de démocratie

Québec, le 20 novembre 2025

Le Parti conservateur du Québec dépose un mémoire à la Commission de l’économie et du travail dans le cadre des consultations particulières sur le projet de loi n° 3 du ministre Jean Boulet.

Même s’il reste sur sa faim, le chef conservateur estime que ce projet de loi améliorera le rapport de force des travailleurs envers leur syndicat, notamment en matière de transparence et grâce à la mise en place d’une cotisation facultative.

« C’est une bonne première étape pour la démocratie syndicale, mais le projet de loi ne protège pas les travailleurs contre la pression exercée pour atteindre le seuil de 50 % de cartes signées. La signature d’une carte ne signifie pas nécessairement que l’employé souhaite être représenté. Peut-être qu’il a simplement cédé à la pression de collègues ou voulu mettre fin aux sollicitations du syndicat », a précisé Éric Duhaime.

Selon un récent sondage commandé par le Parti conservateur du Québec, 74 % des Québécois sont en faveur de l’imposition d’un vote secret pour l’accréditation syndicale.

Pour permettre aux travailleurs de prendre des décisions éclairées quant au choix de leur représentant, puis d’évaluer la qualité de ses services sans crainte de représailles, le Parti conservateur du Québec estime que l’anonymat des membres doit être respecté lorsqu’ils demandent une copie des états financiers.

« Puisque les contribuables financent les salaires des syndicats du secteur public, l’accès à l’information doit être facilité pour tous. Le projet de loi 3 devrait donc inclure l’obligation de rendre publics les états financiers et les rapports sur l’utilisation des ressources », a affirmé le chef conservateur.

-30-

Réforme du régime syndicale : les conservateurs réclament plus de transparence et de démocratie

Québec, le 20 novembre 2025

Le Parti conservateur du Québec dépose un mémoire à la Commission de l’économie et du travail dans le cadre des consultations particulières sur le projet de loi n° 3 du ministre Jean Boulet.

Même s’il reste sur sa faim, le chef conservateur estime que ce projet de loi améliorera le rapport de force des travailleurs envers leur syndicat, notamment en matière de transparence et grâce à la mise en place d’une cotisation facultative.

« C’est une bonne première étape pour la démocratie syndicale, mais le projet de loi ne protège pas les travailleurs contre la pression exercée pour atteindre le seuil de 50 % de cartes signées. La signature d’une carte ne signifie pas nécessairement que l’employé souhaite être représenté. Peut-être qu’il a simplement cédé à la pression de collègues ou voulu mettre fin aux sollicitations du syndicat », a précisé Éric Duhaime.

Selon un récent sondage commandé par le Parti conservateur du Québec, 74 % des Québécois sont en faveur de l’imposition d’un vote secret pour l’accréditation syndicale.

Pour permettre aux travailleurs de prendre des décisions éclairées quant au choix de leur représentant, puis d’évaluer la qualité de ses services sans crainte de représailles, le Parti conservateur du Québec estime que l’anonymat des membres doit être respecté lorsqu’ils demandent une copie des états financiers.

« Puisque les contribuables financent les salaires des syndicats du secteur public, l’accès à l’information doit être facilité pour tous. Le projet de loi 3 devrait donc inclure l’obligation de rendre publics les états financiers et les rapports sur l’utilisation des ressources », a affirmé le chef conservateur.

-30-

Retour à la liste des communiqués